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Europe: On 28 April ETUI says Covid-19 has made safety even more essential

On International Workers’ Memorial Day, #IWMD21 #28April unions worldwide come together to remember those who have been injured or lost their lives to work.

Find out how #Covid19 has made #OSH essential more than ever before ➡️ etui.org/ZJd

الاتحاد العام لنقابات عمال البحرين يشارك في الحملة العالمية لليوم العالمي للصحة والسلامة المهنية :Bahrain

الاتحاد العام لنقابات عمال البحرين يشارك في الحملة العالمية لليوم العالمي للصحة والسلامة المهنية/ اليوم العالمي لذكرى العمال بمشاركة العمال المهاجرين
GFBTU Bahrain #IWMD21
The General Federation of Bahrain Trade Unions participates in the global campaign for the International Occupational Health and Safety Day / World Memory Day with the participation of migrant workers
GFBTU Bahrain #IWMD21

Brazil: Aliança global por locais de trabalho seguros e saudáveis – SINDPRESP

SINDPRESP consegue 1 declaração com a empresa Construções Prefabricadas (Prefab).

Costa Rica: Juntos reconocemos la Salud y Seguridad como un derecho fundamental. ¡Adelante!

 

South Africa: Forestry union signs declaration with employers calling on ILO to recognise safety as a fundamental right

South Africa’s CEPPWAWU signed a declaration with seven forestry companies recognising the importance of safe and healthy workplaces, especially in the time of COVID-19. The signatories also called on the International Labour Organisation (ILO) to declare occupational health and safety as a fundamental right of workers. This initiative is part of BWI’s campaign leading to this year’s International Workers’ Memorial Day on 28 April

Spain: Call to recognise OHS as a fundamental right gains momentum in Spain – UGT – CCOO

BWI’s campaign to persuade companies, big or small, to commit to a declaration recognising workplace health and safety is gaining momentum. more

Global: Respect Occupational Health and Workplace Safety as Fundamental Rights at Work – PSI

Baba Aye

We remember the workers who have died at work every April 28 and rededicate ourselves to fight like hell for the living.The Covid-19 pandemic has further highlighted the critical importance of workplace safety for the physical and mental health of workers.

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The health worker death toll due to the pandemic is at least 17,000. This means more than one health worker dies every 30 minutes. Workers across all other sectors have also been impacted to different extents.

“Every 12 seconds, there is a work-related death somewhere in the world”

Millions of workers continue to die due to lack of adequate workplace safety. Every 12 seconds, there is a work-related death somewhere in the world. Many more suffer chronic or acute diseases. Stress and burnout also contribute significantly to undermining the mental health of overworked and often underpaid working people.

This worrisome situation must stop. Despite the formal inclusion of occupational safety and health as a core aspect of the decent work concept, it is not yet an International Labour Organisation (ILO) fundamental right at work (FRAW).

ILO’s recognition of workplace safety as a key FRAW would lead to its inclusion along with freedom of association, the right to collective bargaining and conventions against child labour and forced labour as components of the Fundamental Principles and Rights at Work (FPRW). In remembering the dead we will fight to win this recognition today, and until victory.

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Global: La pandémie de #COVID19 n’est pas à l’origine de la crise sanitaire au travail, mais l’a mise en évidence!

La pandémie de #COVID19 n’est pas à l’origine de la crise sanitaire au travail, mais l’a mise en évidence!

Global: La santé et al sécurité doivent être un droit fundamental au travail de l’OIT – CSI

Le 28 avril, à l’occasion de l’hommage rendu aux travailleuses et travailleurs morts ou blessés au travail ou suite à des maladies professionnelles, les syndicats présentent deux revendications essentielles pour sauver des vies.

27-04-2021

  1. La première consiste à obtenir le statut de droit fondamental pour la santé et la sécurité au travail auprès de l’Organisation internationale du travail, au même titre que les droits fondamentaux existants de liberté syndicale, de négociation collective et de protection contre la discrimination, le travail forcé et le travail des enfants. Une décision historique du Conseil d’administration de l’OIT en mars indique que cette demande devrait être réalisée lors de la Conférence de l’OIT de juin 2022.

Sharan Burrow, la secrétaire générale de la CSI, a déclaré : « Il s’agit d’une question de la plus haute importance, qui a déjà pris trop de temps. Chaque année, les mauvaises conditions de santé et de sécurité au travail causent la mort d’environ 2,78 millions de personnes. Si la question de la santé et de la sécurité au travail devient un droit fondamental de l’OIT, les gouvernements et les employeurs auront une plus grande responsabilité pour mettre fin à cette hécatombe, et les syndicats et les représentants de la sécurité au travail auront davantage de poids. Seuls les mauvais employeurs s’opposeront à cette mesure et nous sommes prêts à nous battre pour sauver des vies. »

  1. La seconde revendication concerne la classification de la COVID-19 dans la catégorie des maladies professionnelles, ce qui permettrait d’offrir une protection accrue aux travailleuses et travailleurs et de donner accès à des fonds de compensation aux familles des travailleurs morts au travail et à toute personne infectée par la COVID-19 sur son lieu de travail. L’an passé, les syndicats mondiaux ont exhorté l’OIT à considérer la COVID-19 comme maladie professionnelle et une étude initiale menée par la CSI dans 58 pays montre que, jusqu’à présent, seuls 26 pays ont pris cette mesure, bien que dans certains cas, la couverture soit limitée aux personnels de santé.

« La plupart des foyers de COVID-19 apparaissent au travail, ainsi que dans les écoles. Des lieux de travail sûrs joueraient un rôle crucial pour juguler la propagation de la pandémie. L’accès à une indemnisation dans les cas de COVID-19 contractée au travail est particulièrement important, notamment parce que le virus a coûté la vie à de nombreux travailleurs et qu’il peut provoquer des maladies invalidantes longtemps après l’infection.

« Nous saluons la couverture des personnels de santé mais nous désapprouvons le fait que certains pays aient exclu d’autres travailleurs qui, en raison d’une mauvaise réglementation et de la négligence de leur employeur, ont été exposés à des niveaux élevés d’infection comme, par exemple, les personnes qui emballent de la viande ou qui travaillent dans des entrepôts. Tous les travailleurs méritent une couverture satisfaisante. Les pays qui n’ont pas pris de mesures en ce sens doivent le faire au plus vite, et la classification de la COVID-19 comme maladie professionnelle par l’OIT encouragerait cette démarche », a précisé Sharan Burrow.

La CSI appelle également à redoubler les efforts pour produire les vaccins contre le virus de SARS-CoV-2 à l’origine de la COVID-19, et demande la suppression de tous les obstacles, en particulier la propriété intellectuelle et la recherche du profit, pour veiller à ce que les vaccins, les tests, les traitements et autres outils de santé publique soient disponibles pour tous et toutes, sans discrimination.

https://www.ituc-csi.org/journee-internationale-de-2021

 

Global: La salud y seguridad debe ser un derecho fundamental en el trabajo de la OIT- CSI

Al conmemorar a los trabajadores y las trabajadoras que han perdido la vida y sufrido accidentes y enfermedades en el lugar de trabajo, los sindicatos presionan este 28 de abril con dos reivindicaciones claves para salvar vidas.

27-04-2021

  1. La primera es que la salud y seguridad en el trabajo sea considerada como un derecho fundamental por la Organización Internacional del Trabajo (OIT), junto con otros derechos como la libertad sindical, el derecho de negociación colectiva y la protección frente a la discriminación, el trabajo forzoso y el trabajo infantil. Una decisión histórica por parte del Consejo de Administración de la OIT en marzo implica que podría tener lugar durante la Conferencia Internacional del Trabajo en junio de 2022.

Sharan Burrow, secretaria general de la CSI, declaró que “Se trata de una cuestión que reviste una importancia capital y que lleva ya demasiado tiempo sin resolverse. Normas inadecuadas de salud y seguridad en el lugar de trabajo cuestan cerca de 2,78 millones de vidas cada año. Hacer que la salud y seguridad en el trabajo sea un derecho fundamental de la OIT incrementaría la responsabilidad de Gobiernos y empleadores para poner fin a esta masacre y daría además mayores medios de presión a sindicatos y representantes de seguridad en los centros de trabajo. Sólo unos malos empleadores se opondrían a ello y estamos dispuestos a luchar duro para salvar vidas”.

  1. La segunda guarda relación con la clasificación de la COVID-19 como enfermedad profesional, con vistas a proporcionar una mayor protección a la gente trabajadora y permitir el acceso a fondos de compensación para las familias de trabajadores que pierdan la vida a causa del virus y para cualquiera que lo contraiga en el trabajo. El año pasado, los sindicatos mundiales instaron a la OIT a incluir la COVID-19 en la lista de enfermedades profesionales y una encuesta inicial realizada por la CSI sobre 58 países reveló que, hasta la fecha, tan solo 26 han dado ese paso, aunque en algunos casos la cobertura quedó restringida únicamente al personal sanitario.

“La mayoría de los brotes de COVID-19 se producen en lugares de trabajo, incluyendo los centros escolares. Unos lugares de trabajo seguros resultan esenciales para frenar la propagación de la pandemia. El acceso a compensaciones en caso de contraer la enfermedad en el trabajo es especialmente importante, teniendo en cuenta que se ha cobrado ya la vida de muchos trabajadores y trabajadoras y que puede además ocasionar afecciones debilitantes de durante mucho tiempo tras la infección.

“Aunque nos felicitamos de que se dé cobertura al personal sanitario, no nos parece correcto que algunos países excluyan a otras personas como quienes trabajan en el empaquetado de carne o en almacenes, donde por culpa de una mala regulación o de la negligencia de sus empleadores se han registrado altas tasas de contagios. Todas las personas trabajadoras merecen estar cubiertas. Aquellos países que todavía no hayan tomado medidas al respecto deberían hacerlo cuanto antes, y la inclusión de la COVID-19 en la lista de enfermedades profesionales de la OIT serviría de aliciente”, añadió la Sra. Burrow.

La CSI reclama asimismo un gran impulso en la producción de vacunas contra el virus SARS-CoV-2 causante de la COVID-19, y que se eliminen todos los obstáculos, incluyendo los relativos a la propiedad intelectual y la búsqueda de beneficios, para garantizar que vacunas, pruebas, tratamientos y otras herramientas de salud pública estén disponibles para todos, sin discriminación.

Equal Times

Noticias, opinión e informes

 

 

https://www.ituc-csi.org/jornada-internacional-de-24360