La pandémie de #COVID19 n’est pas à l’origine de la crise sanitaire au travail, mais l’a mise en évidence!
La pandémie de #COVID19 n’est pas à l’origine de la crise sanitaire au travail, mais l’a mise en évidence!
Le 28 avril, à l’occasion de l’hommage rendu aux travailleuses et travailleurs morts ou blessés au travail ou suite à des maladies professionnelles, les syndicats présentent deux revendications essentielles pour sauver des vies.
27-04-2021
Sharan Burrow, la secrétaire générale de la CSI, a déclaré : « Il s’agit d’une question de la plus haute importance, qui a déjà pris trop de temps. Chaque année, les mauvaises conditions de santé et de sécurité au travail causent la mort d’environ 2,78 millions de personnes. Si la question de la santé et de la sécurité au travail devient un droit fondamental de l’OIT, les gouvernements et les employeurs auront une plus grande responsabilité pour mettre fin à cette hécatombe, et les syndicats et les représentants de la sécurité au travail auront davantage de poids. Seuls les mauvais employeurs s’opposeront à cette mesure et nous sommes prêts à nous battre pour sauver des vies. »
« La plupart des foyers de COVID-19 apparaissent au travail, ainsi que dans les écoles. Des lieux de travail sûrs joueraient un rôle crucial pour juguler la propagation de la pandémie. L’accès à une indemnisation dans les cas de COVID-19 contractée au travail est particulièrement important, notamment parce que le virus a coûté la vie à de nombreux travailleurs et qu’il peut provoquer des maladies invalidantes longtemps après l’infection.
« Nous saluons la couverture des personnels de santé mais nous désapprouvons le fait que certains pays aient exclu d’autres travailleurs qui, en raison d’une mauvaise réglementation et de la négligence de leur employeur, ont été exposés à des niveaux élevés d’infection comme, par exemple, les personnes qui emballent de la viande ou qui travaillent dans des entrepôts. Tous les travailleurs méritent une couverture satisfaisante. Les pays qui n’ont pas pris de mesures en ce sens doivent le faire au plus vite, et la classification de la COVID-19 comme maladie professionnelle par l’OIT encouragerait cette démarche », a précisé Sharan Burrow.
La CSI appelle également à redoubler les efforts pour produire les vaccins contre le virus de SARS-CoV-2 à l’origine de la COVID-19, et demande la suppression de tous les obstacles, en particulier la propriété intellectuelle et la recherche du profit, pour veiller à ce que les vaccins, les tests, les traitements et autres outils de santé publique soient disponibles pour tous et toutes, sans discrimination.
https://www.ituc-csi.org/journee-internationale-de-2021
Al conmemorar a los trabajadores y las trabajadoras que han perdido la vida y sufrido accidentes y enfermedades en el lugar de trabajo, los sindicatos presionan este 28 de abril con dos reivindicaciones claves para salvar vidas.
27-04-2021
Sharan Burrow, secretaria general de la CSI, declaró que “Se trata de una cuestión que reviste una importancia capital y que lleva ya demasiado tiempo sin resolverse. Normas inadecuadas de salud y seguridad en el lugar de trabajo cuestan cerca de 2,78 millones de vidas cada año. Hacer que la salud y seguridad en el trabajo sea un derecho fundamental de la OIT incrementaría la responsabilidad de Gobiernos y empleadores para poner fin a esta masacre y daría además mayores medios de presión a sindicatos y representantes de seguridad en los centros de trabajo. Sólo unos malos empleadores se opondrían a ello y estamos dispuestos a luchar duro para salvar vidas”.
“La mayoría de los brotes de COVID-19 se producen en lugares de trabajo, incluyendo los centros escolares. Unos lugares de trabajo seguros resultan esenciales para frenar la propagación de la pandemia. El acceso a compensaciones en caso de contraer la enfermedad en el trabajo es especialmente importante, teniendo en cuenta que se ha cobrado ya la vida de muchos trabajadores y trabajadoras y que puede además ocasionar afecciones debilitantes de durante mucho tiempo tras la infección.
“Aunque nos felicitamos de que se dé cobertura al personal sanitario, no nos parece correcto que algunos países excluyan a otras personas como quienes trabajan en el empaquetado de carne o en almacenes, donde por culpa de una mala regulación o de la negligencia de sus empleadores se han registrado altas tasas de contagios. Todas las personas trabajadoras merecen estar cubiertas. Aquellos países que todavía no hayan tomado medidas al respecto deberían hacerlo cuanto antes, y la inclusión de la COVID-19 en la lista de enfermedades profesionales de la OIT serviría de aliciente”, añadió la Sra. Burrow.
La CSI reclama asimismo un gran impulso en la producción de vacunas contra el virus SARS-CoV-2 causante de la COVID-19, y que se eliminen todos los obstáculos, incluyendo los relativos a la propiedad intelectual y la búsqueda de beneficios, para garantizar que vacunas, pruebas, tratamientos y otras herramientas de salud pública estén disponibles para todos, sin discriminación.
https://www.ituc-csi.org/jornada-internacional-de-24360
The Covid-19 pandemic has exposed an occupational health crisis in workplaces worldwide. Workers are routinely denied even basic health and safety protections, including consultation with safety reps and safety committees on ‘Covid-safe’ policies and practices, free access to personal protective equipment and protection from victimisation for raising health and safety concerns. But the same problems existed before the pandemic and resulted in millions of deaths each year from work-related injuries and diseases.
The pandemic demonstrates why health and safety must be a right for everyone who works. Illness anywhere threatens illness everywhere. Unions secured agreement at the International Labour Conference in 2019 that occupational health and safety should be recognised as an International Labour Organisation (ILO) fundamental right at work – the decent, universally accepted and binding rights protecting all workers, everywhere. The ILO Centenary Declaration accepts “safe and healthy working conditions are fundamental to decent work”.
On 28 April 2021, unions can send a message that health and safety protection at work must be recognised as a right for all. Whether it is Covid or occupational cancers, or workplace injuries and industrial diseases, every worker should have a right to a voice and a right to protection. No-one should have to die to make a living.
Resources and updates will be posted on the dedicated 28 April webpages: www.28april.org
The Covid-19 pandemic has exposed an occupational health crisis in workplaces worldwide. Workers are routinely denied even basic health and safety protections, including consultation with safety reps and safety committees on ‘Covid-safe’ policies and practices, free access to personal protective equipment and protection from victimisation for raising health and safety concerns. But the same problems existed before the pandemic and resulted in millions of deaths each year from work-related injuries and diseases.
The pandemic demonstrates why health and safety must be a right for everyone who works. Illness anywhere threatens illness everywhere. Unions secured agreement at the International Labour Conference in 2019 that occupational health and safety should be recognised as an International Labour Organisation (ILO) fundamental right at work – the decent, universally accepted and binding rights protecting all workers, everywhere. The ILO Centenary Declaration accepts “safe and healthy working conditions are fundamental to decent work”.
On 28 April 2021, unions can send a message that health and safety protection at work must be recognised as a right for all. Whether it is Covid or occupational cancers, or workplace injuries and industrial diseases, every worker should have a right to a voice and a right to protection. No-one should have to die to make a living.
Resources and updates will be posted on the dedicated 28 April webpages: www.28april.org
La pandémie de Covid-19 a mis en évidence une crise de la santé au travail aux quatre coins du monde. Les travailleurs et travailleuses sont régulièrement privés des protections même élémentaires en matière de sécurité et de santé, notamment la consultation des représentants et des comités de sécurité en ce qui concerne les politiques et pratiques sûres dans le cadre de la Covid-19, le libre accès à l’équipement de protection individuelle et la protection contre les représailles pour avoir soulevé des préoccupations concernant la santé et la sécurité. Toutefois, ces problèmes existaient déjà avant la pandémie, entraînant des millions de décès, chaque année, liés à des lésions et maladies professionnelles .
La pandémie montre pourquoi la santé et la sécurité doivent constituer un droit pour toutes les personnes qui travaillent. La maladie, où qu’elle survienne, constitue une menace à sa transmission partout ailleurs. Lors de la Conférence internationale du travail en 2019, les syndicats ont obtenu que l’Organisation internationale du travail (OIT) doive reconnaître la santé et la sécurité au travail comme un droit fondamental au travail – principes de travail décent, universellement acceptés et contraignants en vue de protéger tous les travailleurs dans le monde entier. La Déclaration du centenaire de l’OIT reconnaît que « des conditions de travail sûres et salubres sont fondamentales au travail décent. »
Le 28 avril 2021, les syndicats pourront envoyer un message indiquant que la protection de la santé et de la sécurité au travail doit être reconnue comme un droit pour tous. Qu’il s’agisse de la Covid-19 ou de cancers professionnels, ou d’accidents du travail et de maladies professionnelles, tous les travailleurs doivent avoir le droit à la parole, ainsi que le droit à la protection. Personne ne doit risquer de mourir pour gagner sa vie.
Une documentation et des mises à jour seront publiées sur les pages web consacrées au 28 avril: www.28april.org.
La pandémie de Covid-19 a mis en évidence une crise de la santé au travail aux quatre coins du monde. Les travailleurs et travailleuses sont régulièrement privés des protections même élémentaires en matière de sécurité et de santé, notamment la consultation des représentants et des comités de sécurité en ce qui concerne les politiques et pratiques sûres dans le cadre de la Covid-19, le libre accès à l’équipement de protection individuelle et la protection contre les représailles pour avoir soulevé des préoccupations concernant la santé et la sécurité. Toutefois, ces problèmes existaient déjà avant la pandémie, entraînant des millions de décès, chaque année, liés à des lésions et maladies professionnelles .
La pandémie montre pourquoi la santé et la sécurité doivent constituer un droit pour toutes les personnes qui travaillent. La maladie, où qu’elle survienne, constitue une menace à sa transmission partout ailleurs. Lors de la Conférence internationale du travail en 2019, les syndicats ont obtenu que l’Organisation internationale du travail (OIT) doive reconnaître la santé et la sécurité au travail comme un droit fondamental au travail – principes de travail décent, universellement acceptés et contraignants en vue de protéger tous les travailleurs dans le monde entier. La Déclaration du centenaire de l’OIT reconnaît que « des conditions de travail sûres et salubres sont fondamentales au travail décent. »
Le 28 avril 2021, les syndicats pourront envoyer un message indiquant que la protection de la santé et de la sécurité au travail doit être reconnue comme un droit pour tous. Qu’il s’agisse de la Covid-19 ou de cancers professionnels, ou d’accidents du travail et de maladies professionnelles, tous les travailleurs doivent avoir le droit à la parole, ainsi que le droit à la protection. Personne ne doit risquer de mourir pour gagner sa vie.
Une documentation et des mises à jour seront publiées sur les pages web consacrées au 28 avril: www.28april.org.
La pandemia de COVID-19 ha puesto de relieve una crisis sanitaria en lugares de trabajo del mundo entero. Los trabajadores y trabajadoras ven denegados continuamente incluso los elementos más básicos para la protección de su salud y seguridad, incluyendo consultas con representantes y comités de seguridad respecto a políticas y prácticas seguras respecto a la COVID-19, libre acceso a equipo de protección personal y no sufrir represalias por plantear inquietudes respecto a la salud y seguridad en el trabajo. Son problemas que existían ya antes de la pandemia, ocasionando millones de muertes cada año a causa de accidentes laborales o enfermedades relacionadas con el trabajo.
La pandemia ha venido a demostrar por qué la salud y seguridad debe constituir un derecho para cualquier persona que trabaja. La enfermedad en cualquier lugar amenaza su transmisión a todo el mundo. A instancias de los sindicatos durante la Conferencia Internacional del Trabajo en 2019 se acordó que la Organización Internacional del Trabajo (OIT) debería reconocer la salud y seguridad en el trabajo como parte de los derechos fundamentales en el trabajo –principios de trabajo decente, vinculantes y aceptados universalmente para proteger a todos los trabajadores, en todo el mundo–. La Declaración del Centenario de la OIT admite que “condiciones de trabajo seguras y saludables son fundamentales para el trabajo decente”.
El 28 de abril de 2021, los sindicatos pueden enviar un mensaje de que la protección de la salud y seguridad en el trabajo debe reconocerse como un derecho para todos. Tanto si se trata de la COVID-19 o de cánceres profesionales, o bien de lesiones laborales y enfermedades industriales, todo trabajador ha de poder hacer oír su voz y tener derecho a la debida protección. Nadie debería arriesgarse a morir para ganarse la vida.
Recursos y actualizaciones de publicarán en las páginas dedicadas al 28 de Abril: www.28april.org
Journée internationale de commémoration des travailleuses et des travailleurs : Stoppons la pandémie au travail
Le 28 avril marque la Journée internationale de commémoration des travailleuses et des travailleurs, qui a pour but de rendre hommage aux travailleurs décédés, devenus invalides, blessés ou malades à cause de leur travail en organisant des actions.
30-03-2020
Le thème de cette année porte évidemment sur la pandémie de COVID-19. Bien que tout le monde soit touché par la crise, les travailleurs se trouvent en première ligne.
« Les professionnels de la santé, en particulier, risquent leur vie en réalisant leur travail pour prendre soin des malades, tandis que des travailleurs se chargent des soins aux personnes âgées et d’autres infrastructures s’occupent des groupes les plus vulnérables. Mais nous avons également besoin des travailleurs dans les transports et les supermarchés, des fournisseurs de services essentiels et de nombreux autres pour maintenir l’économie à flot. Les citoyens devraient également remercier ces travailleurs car si vous ne pouvez pas acheter de produits alimentaires, vous ne pourrez pas nourrir votre famille pour qu’elle reste en bonne santé », a déclaré Sharan Burrow, secrétaire générale de la CSI.
La Journée internationale de commémoration des travailleuses et des travailleurs 2020 sera organisée pour soutenir tous ces travailleurs courageux, ainsi que pour rendre hommage aux personnes décédées, malades ou blessées en raison de leur travail.
Compte tenu des mesures de distanciation sociale et de confinement, les réunions et événements physiques ne pourront vraisemblablement pas être organisés.
Voici quelques suggestions d’activités et de diffusion de vos messages :
Solidarité en action – stoppons la pandémie au travail
La grande majorité des activités syndicales organisées le 28 avril seront virtuelles et vos photos représenteront le pouvoir, la solidarité et l’engagement des membres de syndicats en faveur de la sécurité au travail.
Publiez vos photos ou vidéos de 30 secondes sur les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, LinkedIn, Instagram) en utilisant #iwmd20 ou envoyez-les par courriel à editor@hazards.org.
Quant aux travailleurs en première ligne, qui « sauvent des vies – en sécurité », envoyez une photo de vos vêtements de protection ou de la façon dont votre lieu de travail respecte la distanciation physique en toute sécurité pour « stopper la pandémie au travail ».
Exemples de message pour les médias sociaux :
Une partie de l’équipe sauvant des vies en sécurité sur #iwmd20
Ensemble nous pouvons #StopthePandemicAtWork
Pour tous les travailleurs, afin de manifester votre solidarité pour « stopper la pandémie au travail », envoyez une photo d’une bougie que vous allumez chez vous ou sur votre lieu de travail en solidarité avec les travailleurs en première ligne qui rendent notre vie possible.
Exemples de message pour les médias sociaux :
Mettons en lumière tous ceux qui travaillent pour #StopthePandemicAtWork
Merci à tous les travailleurs en première ligne à l’occasion de la #iwmd20
Pour les responsables syndicaux, portez une pancarte avec une liste des mesures de soutien que vous avez négociées pour « stopper la pandémie au travail »
Exemples de message pour les médias sociaux :
Les syndicats en action #StopthePandemicAtWork
Luttant pour :
Des congés de maladie rémunérés
Des lieux de travail sûrs
Une sécurité d’emploi
#iwmd20
Si vous souhaitez partager des idées concernant des activités virtuelles, veuillez nous en faire part en envoyant un courriel à editor@hazards.org. Nous les publierons sur notre site web consacré à la campagne https://28april.org/.
https://www.ituc-csi.org/28avril2020-FR
Toutes les 11 secondes, une personne meurt en raison des conditions dangereuses dans lesquelles elle travaille. La prise de conscience gagne du terrain, mais le cancer est toujours la première cause de décès dû au travail dans de nombreux pays. Cette année, à l’occasion de la Journée internationale de commémoration des travailleuses et des travailleurs, la CSI appelle à «zéro cancer».
«Nous travaillons pour ‘gagner notre vie’ mais les travailleurs sont toujours exposés à des substances mortelles. Aujourd’hui, nous rendons hommage aux personnes qui ont perdu la vie au travail. En leur mémoire nous continuons à nous battre pour vivre,» a déclaré Sharan Burrow, la secrétaire générale de la CSI.
En dépit de la longue période qui peut se dérouler entre l’exposition à des substances dangereuses et le diagnostic du cancer, la recherche met de plus en plus souvent en évidence le lien existant entre le cancer et ses causes professionnelles. La CSI, en partenariat avec la campagne de la revue «Hazards», a réalisé un guide pratique qui résume les principaux risques de cancers professionnels.
«Grâce aux syndicats, le travail est plus sûr. Les travailleurs sont les mieux placés pour savoir où se trouvent les dangers sur leur lieu de travail et c’est leur connaissance et leur action collective qui permettent d’améliorer durablement la santé et la sécurité. Nous plaidons en faveur de conditions toujours plus sûres, depuis le lieu de travail jusqu’aux normes internationales élaborées par l’Organisation internationale du travail. Il est fondamental de garantir la santé et la sécurité au travail. La Déclaration du centenaire de l’OIT offre une réelle opportunité de réaliser les importantes avancées qui permettraient de sauver des millions de vies. Il ne faut pas la manquer,» a précisé Sharan Burrow.
C’est également ce qu’a annoncé M. Baskut Tuncak, le Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits de l’homme et les produits et déchets dangereux, pour qui la communauté internationale doit «veiller aux opportunités dont nous disposons actuellement pour éliminer les inégalités de traitement existantes entre les pays exploités par des entreprises peu scrupuleuses au travers de leurs chaînes d’approvisionnement.» Puis, s’exprimant sur la nécessité de renforcer la sécurité internationale, il a ajouté: «les instruments mondiaux interdisent ou limitent l’utilisation ou l’émission de moins de 0,1% seulement des substances chimiques industrielles toxiques et des pesticides suscitant une préoccupation mondiale auxquels les travailleurs et les populations locales sont exposés.»
De nouveaux produits chimiques arrivent sans cesse sur les sites de travail, et très peu ont fait l’objet d’un contrôle approfondi pour évaluer leur cancérogénicité. L’amélioration des normes de test est indispensable pour éviter d’autres décès. L’OIT est la principale organisation chargée d’améliorer les normes pour des millions de personnes à travers le monde. La CSI exhorte les employeurs et les gouvernements à se montrer à la hauteur de cette mission et à accepter la nature fondamentale de la santé et de la sécurité organisationnelle lors de la Conférence du centenaire de l’OIT en juin 2019.
Les syndicats de toute la planète se mobilisent aujourd’hui pour rendre hommage aux travailleuses et aux travailleurs et obtenir de meilleures conditions de santé et de sécurité au travail. Consultez les dernières nouvelles sur 28April.org.